Science fiction/Aventure/Malgré des longueurs et des incohérences, le réalisateur conclut efficacement la trilogie. Le spectacle est là et les acteurs sont toujours aussi sympas.
Réalisé par Wes Ball
Avec Dylan O'Brien, Kaya Scodelario, Thomas Brodie-Sangster, Ki Hong Lee, Dexter Darden, Will Poulter, Jacob Lofland, Rosa Salazar...
Long-métrage Américain
Titre original : Maze Runner: The Death Cure
Durée: 02h22mn
Année de production: 2018
Distributeur: Twentieth Century Fox France
Date de sortie sur les écrans américains : 26 janvier 2018
Date de sortie sur nos écrans : 7 février 2018
Résumé : Dans ce dernier volet de l’épopée LE LABYRINTHE, Thomas et les Blocards s’engagent dans une ultime mission, plus dangereuse que jamais. Afin de sauver leurs amis, ils devront pénétrer dans la légendaire et sinueuse Dernière Ville contrôlée par la terrible organisation WICKED. Une cité qui pourrait s’avérer être le plus redoutable des labyrinthes. Seuls les Blocards qui parviendront à en sortir vivants auront une chance d’obtenir les réponses tant recherchées depuis leur réveil au cœur du Labyrinthe.
Bande annonce (VOSTFR)
Extrait "Dans le Labyrinthe" (VOSTFR)
Extrait "Le tunnel" (VOSTFR)
Extrait "Dans le Labyrinthe" (VOSTFR)
Extrait "Le tunnel" (VOSTFR)
Ce que j'en ai pensé : le réalisateur Wes Ball conclut sa trilogie avec maestria. Visuellement, le film ne manque ni d'action, ni de moments spectaculaires. Il nous offre de beaux plans et une mise en scène soignée avec des décors variés.
Le scénario permet à chaque personnage d'apporter sa pierre à l'édifice. De plus, il propose une quête claire sur toute la première partie et relance l'intrigue régulièrement. Par contre, les incohérences et impossibilités sont très nombreuses. Et le film tire en longueur dans la dernière partie. Cependant, si on a aimé les deux premiers opus, on se laisse bien volontiers entraîner dans les aventures à rebondissement de Thomas et de ses amis.
On a plaisir à retrouver Dylan O'Brien, qui interprète Thomas, Rosa Salazar dans le rôle de Brenda, Thomas Brodie-Sangster dans celui de Newt ou encore Ki Hong Lee qui interprète Minho.
Ils sont attachants, on se soucie donc de savoir ce qu'il va leur arriver. Quelques surprises attendent les spectateurs les plus fans concernant les protagonistes. En tout cas, tous les jeunes acteurs sont toujours aussi sympathiques et leurs interactions sont tout à fait convaincantes. Quant à Aidan Gillen, il personnifie parfaitement le sale type cruel et profondément égoïste. Il apporte à Janson ce qu'il faut d'arrogance.
LE LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL boucle efficacement la saga, malgré quelques défauts. Le réalisateur se donne les moyens de faire du spectacle en conservant le ton qu'il a instauré dans les deux autres films, l'action est au rendez-vous et les acteurs sont toujours aussi sympathiques. Si vous aimé LE LABYRINTHE (lien vers mon avis) et LE LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE (lien vers mon avis) au cinéma, ce volet saura répondre à vos attentes.
Le scénario permet à chaque personnage d'apporter sa pierre à l'édifice. De plus, il propose une quête claire sur toute la première partie et relance l'intrigue régulièrement. Par contre, les incohérences et impossibilités sont très nombreuses. Et le film tire en longueur dans la dernière partie. Cependant, si on a aimé les deux premiers opus, on se laisse bien volontiers entraîner dans les aventures à rebondissement de Thomas et de ses amis.
On a plaisir à retrouver Dylan O'Brien, qui interprète Thomas, Rosa Salazar dans le rôle de Brenda, Thomas Brodie-Sangster dans celui de Newt ou encore Ki Hong Lee qui interprète Minho.
Ils sont attachants, on se soucie donc de savoir ce qu'il va leur arriver. Quelques surprises attendent les spectateurs les plus fans concernant les protagonistes. En tout cas, tous les jeunes acteurs sont toujours aussi sympathiques et leurs interactions sont tout à fait convaincantes. Quant à Aidan Gillen, il personnifie parfaitement le sale type cruel et profondément égoïste. Il apporte à Janson ce qu'il faut d'arrogance.
LE LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL boucle efficacement la saga, malgré quelques défauts. Le réalisateur se donne les moyens de faire du spectacle en conservant le ton qu'il a instauré dans les deux autres films, l'action est au rendez-vous et les acteurs sont toujours aussi sympathiques. Si vous aimé LE LABYRINTHE (lien vers mon avis) et LE LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE (lien vers mon avis) au cinéma, ce volet saura répondre à vos attentes.
NOTES DE PRODUCTION
(A ne lire qu'après avoir vu le film pour éviter les spoilers !)
AUX ORIGINES DU LABYRINTHE
Dans LE LABYRINTHE, Thomas (Dylan O’Brien) reprenait connaissance alors
qu’il était transporté vers le Bloc, incapable de se souvenir de sa vie d’avant
ou de la raison pour laquelle il se retrouvait au sein de cette communauté
d’adolescents. Il faisait alors la rencontre de Minho (Ki Hong Lee), le chef
des Coureurs ; Newt (Thomas Brodie-Sangster), son ami et conseiller ;
Gally (Will Poulter), le chef des Bâtisseurs et son principal adversaire ;
et Teresa (Kaya Scodelario), l’unique fille du groupe, avec qui il semblait
partager un sombre passé… Tous étaient pris au piège d’un mur d’enceinte de 60
mètres de haut et d’un labyrinthe dont la configuration changeait
perpétuellement.
Ayant enfin réussi à s’échapper, les « Blocards » avaient
découvert un monde ravagé appelé la Terre Brûlée. Dans le deuxième volet
de la trilogie, LE LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE, Thomas et ses amis
nouaient de nouvelles alliances pour tenter d’en apprendre davantage sur le
mystérieux groupe responsable de leur calvaire : une organisation baptisée
WICKED.
Dans LE LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL, les motivations de WICKED se
dessinent de manière plus évidente : le Dr Ava Paige, directrice générale
de l’organisation, est sur le point de créer l’antidote à la Braise, une
infection qui a décimé la population mondiale. Et pour cela, elle est prête à
sacrifier les derniers adolescents apparemment immunisés contre la maladie. Afin
de libérer ceux qui ont été capturés pour servir de cobayes, dont son ami
Minho, Thomas doit s’unir avec tous les survivants, anciens et nouveaux, et se
rendre dans la Dernière Ville, l’ultime bastion de WICKED, pour le combat
final. Le jeune homme veut s’introduire dans le Q.G. ultra sécurisé de
l’organisation pour tenter de l’anéantir de l’intérieur…
NOTES DE
PRODUCTION
« Il est loin le Bloc, pas vrai ? » Newt
LE LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL est le troisième et dernier
épisode de la franchise réalisée par Wes Ball d’après les bestsellers pour jeunes
adultes de James Dashner.
Le tournage du premier volet de la trilogie, LE LABYRINTHE, a débuté le
15 mai 2013 à Baton Rouge en Louisiane et a rassemblé un groupe de talentueux
jeunes acteurs. Le film mettait en scène les résidents forcés d’un mystérieux
campement baptisé le Bloc, pris au piège d’un labyrinthe en perpétuelle mutation
ceint par un immense mur. Cette communauté de jeunes garçons n’avait qu’un
objectif : trouver la sortie du Labyrinthe pour recouvrer la liberté.
Suite à l’arrivée de Thomas puis de la seule fille du groupe, Teresa, tout a
changé. En tentant de s’évader, ils ont découvert qu’ils n’étaient que des
cobayes dans une vaste et cruelle expérience.
Dans LE LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE, les « Blocards »,
comme ils se faisaient désormais appeler, ont réalisé qu’ils n’étaient pas les
seuls à avoir enduré ces épreuves. Il existait d’autres labyrinthes et d’autres
adolescents sélectionnés par une mystérieuse entité baptisée WICKED. Mais
Thomas, devenu le leader naturel du groupe, ne croyait pas au message martelé
par l’organisation : « WICKED est bon ». Il a décidé de s’enfuir
du bâtiment où ils avaient été installés après leur « sauvetage »
pour conduire les survivants en Terre Brûlée, un vaste désert représentant le
dernier vestige de l’humanité.
À la recherche d’un refuge secret, le groupe s’est retrouvé pris au piège
lorsque Teresa, troublée par le message de WICKED, a révélé à l’organisation la
position de ses amis et d’un groupe de résistants appelé le Bras Droit. Trahi
par Teresa et prêt à tout pour sauver Minho, fait prisonnier par WICKED, Thomas
déclarait à la fin du film vouloir anéantir l’organisation et tuer Ava Paige.
La directrice générale de l’énigmatique WICKED est désormais son ennemie jurée.
L’action du LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL débute environ six mois
après les évènements de LA TERRE BRÛLÉE. Au cours de la bataille finale du
deuxième film, les immunisés contre la Braise, une maladie qui a ravagé la
population terrestre, ont défini leur objectif : trouver un refuge hors de
portée de WICKED.
L’ultime épisode de la trilogie rassemble bon nombre des membres de la
distribution originale du film de 2014, dont Dylan O’Brien dans le rôle de
Thomas ; Kaya Scodelario dans celui de Teresa ; Ki Hong Lee dans le
rôle de Minho ; Thomas Brodie-Sangster dans celui de Newt ; Dexter
Darden dans le rôle de Frypan et Patricia Clarkson dans celui du Dr Ava Paige.
On retrouve aussi les acteurs du LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE : Giancarlo
Esposito dans le rôle de Jorge, Rosa Salazar dans celui de Brenda, Aidan Gillen
dans le rôle de Janson, Barry Pepper dans celui de Vince et Walton Goggins dans
le rôle de Lawrence.
Tous se sont retrouvés au Cap, en Afrique du Sud, pour un tournage de
trois mois qui a débuté le 6 mars 2017.
Wes Ball, le réalisateur des trois épisodes de la série, revient sur
les différences entre les univers de chacun des films : « LE
LABYRINTHE mettait en scène un monde de béton en décomposition, LA TERRE BRÛLÉE
se déroulait dans un univers de sable et de rouille tandis que ce film a pour
décor un monde de verre et d’acier. Chaque chapitre de la trilogie possède donc
son style et sa palette de couleurs. »
Ce monde de verre et d’acier, dont les Blocards ignorent s’il existe
vraiment, va être le théâtre de la bataille contre WICKED, laquelle a en
réalité débuté dès la fin du LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE. Le réalisateur
explique : « Dans le troisième livre de la série, il est question
d’un groupe de résistants opposé à WICKED, mais j’ai pensé qu’il serait
intéressant d’évoquer ce sujet dès le deuxième film. »
En faisant apparaître les soldats du Bras Droit à la fin du
LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE, Wes Ball a pris quelques libertés par
rapport aux romans. Il commente : « Certains éléments des films
diffèrent en effet légèrement des livres mais ils en sont néanmoins inspirés, et
je suis très reconnaissant à James Dashner d’avoir soutenu nos choix. Notre
objectif a toujours été de satisfaire les fans. »
James Dashner déclare : « Les fans des romans sont très
attachés à l’histoire et très protecteurs envers elle, mais certains choses se
prêtent mieux au cinéma et Wes Ball a brillamment réalisé ces ajustements, à
mon sens pour le plus grand plaisir de tous ceux qui apprécient ces histoires. »
Pour donner vie au film, la production s’est mise en quête d’un lieu de
tournage lui permettant de recréer des univers aussi distincts que la Terre
Brûlée, la Dernière Ville et le Refuge. Pour cela, elle s’est rendue au Cap, en
Afrique du Sud. Nommée capitale mondiale du design en 2014 par l’International
Council of Societies of Industrial Design, la ville, avec ses hauts buildings
et son architecture moderne, était la parfaite doublure pour la Dernière Ville.
Depuis le Cap, l’équipe s’est également rendue aux portes du désert du
Kalahari pour tourner l’haletante séquence ferroviaire qui ouvre le film. La
scène, dont le tournage a duré cinq jours près de la ville d’Upington, donne un
souffle épique au film.
Dylan O’Brien commente : « C’est sans doute l’une des
séquences les plus impressionnantes de la trilogie. Le film démarre sur les
chapeaux de roues : dès les premières secondes, le ton est donné. Thomas
et les autres sont prêts à tout pour mener à bien le sauvetage de leur ami et
cette scène occupe une place spéciale dans la série. »
La séquence permet en outre aux spectateurs de se replonger
immédiatement dans l’univers de la franchise, comme l’explique l’acteur :
« LE LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE débutait tout de suite après les
évènements du premier film, mais cette fois-ci, il s’est écoulé près de six
mois et il est évident que les personnages ne se sont pas tourné les pouces.
Ils en ont profité pour s’organiser et mettre au point un plan pour sauver
Minho. »
Wes Ball décrit la fin du deuxième opus de la série, lorsque les autres
se tournent vers Thomas et lui demandent s’il a un plan, comme un moment
décisif dans la construction du personnage. Il précise : « C’est à ce
moment que l’on voit émerger le leader en lui. »
Lorsque LE LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL débute, les survivants
ont eu le temps de concevoir un plan. Ils sont désormais organisés et offensifs,
au point d’être capables de voler un wagon lancé à pleine vitesse pour libérer
Minho.
Barry Pepper, qui incarne Vince, l’un des leaders du Bras Droit,
déclare : « J’ai pris beaucoup de plaisir à tourner cette séquence,
ça a été l’un des temps forts du tournage malgré la chaleur écrasante. Il me
suffisait de sauter de la voiture et de grimper sur le train pour être trempé
de sueur, mais d’un autre côté, il faisait tellement chaud que j’étais sec dix
minutes plus tard ! Je n’avais jamais connu une telle chaleur mais cela en
valait la peine, et les paysages du Kalahari sont à couper le souffle. C’était
la première fois que je tournais dans un tel décor et j’en garde un souvenir
impérissable. »
Pour Rosa Salazar, qui interprète Brenda, les paysages du Kalahari sont
quasiment indissociables de ceux du Nouveau-Mexique où s’est achevé LE
LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE. Elle explique : « Upington
ressemble comme deux gouttes d’eau à Albuquerque, et le relief de la région est
similaire. On pourrait se croire dans n’importe quelle petite ville américaine…
jusqu’à ce que l’on croise des villageois. Il se passe alors quelque chose de
très particulier dans votre cerveau : Albuquerque et les États-Unis
semblent soudain très loin, on prend conscience qu’on se trouve en Afrique, dans
une région du monde où les gens continuent à former des alliances et à se
rebeller, à s’intéresser à ce qui se passe autour d’eux, à exprimer leur
mécontentement et à se battre. Ici, les gens n’hésitent pas à se soulever et à
s’affronter… tout comme les personnages du film. »
Après avoir réussi à subtiliser à WICKED un wagon rempli d’adolescents,
tous immunisés contre la Braise et destinés à servir de rats de laboratoire,
Thomas et les autres entendent bien mettre tout le monde en sécurité au Refuge…
si toutefois un tel lieu existe. Cet endroit a été évoqué pour la première fois
dans le deuxième film par Brenda. Le scénariste T.S. Nowlin raconte : «
Elle confie à Thomas que Jorge voit en eux son billet pour « le
Refuge », ce qui fait renaître l’espoir chez les survivants qui découvrent
alors l’existence de ce paradis. »
C’est Vince qui guide le groupe dans leur périple vers ce nouvel Eden.
De son personnage, Barry Pepper dit : « C’est un survivant qui, comme
les autres, doit se battre pour rester en vie. WICKED a mis au point un
antidote contre la Braise et tient l’humanité à sa merci. Il tente donc de
survivre et d’aider au passage le plus de gens possible. »
Pour illustrer l’extraordinaire beauté du Refuge, l’équipe et les
acteurs se sont rendus dans le parc côtier sud-africain de Kogel Bay et au
Kogel Bay Beach Resort. C’est là, sur une plage située au pied de montagnes
abruptes, que le chef décorateur Daniel Dorrance a installé un cantonnement qui
rappelle à bien des égards le campement original des Blocards… à la différence
qu’au lieu d’être prisonniers des murs du Labyrinthe, ils sont ici protégés par
les montagnes.
Intégrer ce lieu spectaculaire à l’univers de la trilogie était une
mission taillée sur mesure pour Daniel Dorrance. Wes Ball explique :
« Dan a le don de donner aux décors réels un caractère époustouflant et
unique. »
Le chef décorateur déclare : « Après avoir trouvé cette
magnifique plage, nous avons eu l’idée d’ériger des structures semblables à des
tentes pour donner l’idée de l’émergence d’un nouveau monde, qui n’est pas sans
rappeler le Bloc car ses habitants vivent également de la terre. »
« J’ai dit que je
connaissais un moyen d’entrer…
pas que ça te plairait. » Gally
Pour l’extérieur de l’impénétrable Q.G. et du laboratoire de WICKED, la
production a opté pour le design épuré du Cape Town International Convention
Center. L’intérieur du bâtiment, tout comme le laboratoire situé au 20e
étage, ont quant à eux été construits dans un gigantesque entrepôt reconverti
en studio près du Cap. La construction des décors a débuté en novembre 2016 et
s’est achevée pour le début du tournage en mars 2017. Le Q.G. se compose
d’innombrables pièces reliées entre elles par de multiples couloirs formant un
véritable dédale qui renvoie une fois de plus à l’idée du labyrinthe – à la
différence que les Blocards cherchent désormais à y pénétrer et non à s’en
échapper. L’aménagement du décor a également permis la réalisation de longs
plans séquences dans lesquels les personnages passent d’un endroit à un autre sans
qu’il soit nécessaire de faire de coupes au montage.
Daniel Dorrance déclare : « Wes a filmé plusieurs scènes dans
le laboratoire, ce que j’ai beaucoup apprécié. On sait qu’on a fait du bon
travail quand le réalisateur veut passer plus de temps dans un décor et qu’il y
trouve de nouveaux angles qui lui plaisent. »
Aidan Gillen, qui tient le rôle de Janson, l’homme chargé de rassembler
les immunisés et d’assurer la sécurité du bâtiment, assure que les décors ont
beaucoup apporté au film. « Le Q.G. et le laboratoire de WICKED sont
fantastiques et facilitent grandement notre tâche en tant qu’acteurs car ils
sont ininterrompus. On se croirait dans un lieu réel parce qu’il a été
construit dans sa totalité : il existe bel et bien. C’est une sensation
très particulière. »
« J’étais autrefois une étrangère pour toi, mais nous formons
désormais une famille. C’est la même chose pour eux. » Brenda à Jorge
La famille est une notion sur laquelle s’accordent tous les acteurs du
film. Après avoir passé près de cinq ans ensemble pour réaliser les trois
épisodes de la trilogie, ils sont inévitablement devenus inséparables.
Dylan O’Brien déclare : « Mes partenaires vont beaucoup me
manquer. Nous resterons évidemment en contact, mais rien ne pourra remplacer
toutes ces heures passées ensemble sur le tournage et le fait de vivre les uns près
des autres. Nous essayons de profiter au maximum de ces derniers moments avant
de poursuivre notre chemin chacun de notre côté. Nous voulons finir en beauté
en réalisant le meilleur film de la série. On s’apprécie tous vraiment et on
est contents de se retrouver à travailler ensemble tous les matins. »
Pour Rosa Salazar, le temps passé avec ses partenaires hors caméra a
été tout aussi précieux que celui passé sur le tournage. Elle explique :
« C’est un peu comme en improvisation. Les improvisateurs passent tout
leur temps ensemble parce qu’ils doivent se connaître par cœur, si bien qu’une
fois sur scène, ils n’ont pas besoin de s’expliquer ce qu’ils vont faire, ça
leur vient naturellement. Ils se comprennent sans avoir à se parler, en un
regard, un peu comme Giancarlo Esposito et moi. Nous n’avons pas besoin de tout
verbaliser car nous nous connaissons parfaitement, nos cerveaux ne font
qu’un. »
La famille est également un élément central de l’histoire, comme
l’explique Giancarlo Esposito, qui a rejoint la distribution sur LE
LABYRINTHE : LA TERRE BRÛLÉE. « C’est le thème principal du troisième
film, ce qui le rend vraiment unique. Lorsqu’on travaille avec des gens qu’on
apprécie, on a envie de passer du temps avec eux pour apprendre à mieux les
connaître. En se retrouvant hors caméra pour partager quelques bons moments, on
crée des liens qui transparaissent ensuite à l’écran. »
À propos de son personnage, l’acteur déclare : « Jorge est un
mercenaire qui a encore bien des secrets à dévoiler, notamment à propos de ses
allégeances passées. Dans le film, c’est un peu comme s’il regardait ses
enfants grandir : il doit les laisser prendre leurs propres décisions. Et
cela l’oblige à évoluer, il commence à faire preuve d’altruisme et à faire
confiance aux autres. La confiance est quelque chose de très important au sein
d’une famille. On apprend énormément en se fiant à son instinct et à ses
enfants. La trajectoire de Jorge est donc particulière dans ce film parce qu’il
est obligé de se mettre en retrait et de regarder Thomas et les autres prendre
des décisions difficiles, exactement comme nous-mêmes le faisons avec nos
enfants. »
Pour Dexter Darden, la notion de famille a également été un composant
majeur de cette aventure, tant sur le tournage qu’hors caméra. Il
explique : « Nous nous connaissons maintenant depuis cinq ans et au
cours de cette période nous avons tous grandi ; certains se sont mariés,
ont eu des enfants, d’autres ont connu des ruptures, et comme dans toutes les
familles nous avons été présents les uns pour les autres dans les moments de
joie comme dans les épreuves. Peu importe ce que nous avons traversé, nous nous
sommes toujours soutenus. Nous avons connu de grands moments et des moments
difficiles, mais ça fait partie de la vie. Le plus important est d’arriver à
grandir ensemble et à être présent quoi qu’il arrive, et c’est ce que nous
sommes parvenus à faire. C’est quelque chose qui nous lie désormais. »
Kaya Scodelario ajoute que les liens qui unissent l’équipe se sont
renforcés avec le temps. « Ki Hong et moi discutons de sujets que nous
n’aurions jamais abordés il y a de cela cinq ans. Nos enfants sont nés à dix
jours d’intervalle, nous ne manquons donc pas de sujets à évoquer entre les
couches, les biberons, etc.… Des sujets qui n’intéressent pas le moins du monde
les autres, exactement comme dans n’importe quelle famille ! »
« Cette ville était la base opérationnelle de WICKED. Si elle
existe encore, c’est le dernier endroit au monde où on voudrait aller.
C’est la fosse aux lions. » Jorge
Même si la Dernière Ville a survécu, les Blocards ont conscience qu’y
pénétrer sera difficile… et s’introduire dans le Q.G. de WICKED où Minho est
retenu prisonnier, impossible. Mais Thomas est habitué à se fixer des objectifs
apparemment inatteignables…
Dylan O’Brien commente : « Dans le premier film, le défi
consistait à trouver la sortie du Labyrinthe et à quitter le Bloc. Mais tous
les membres du groupe, Gally en tête, ne partageaient pas cet avis, ils
considéraient la clairière comme leur maison et s’y sentaient en sécurité. Dans
le deuxième, les personnages avaient quitté le Labyrinthe, ils avaient un
endroit où vivre et l’impression d’être protégés… mais cela avait un prix. Dans
le dernier volet de la trilogie, Thomas veut pénétrer au cœur de l’organisation
responsable de toutes ces épreuves pour sauver Minho et tenir la promesse qu’il
lui a faite, mais beaucoup pensent que cette mission est vouée à
l’échec. »
C’est précisément l’audace de Thomas qui a séduit le réalisateur Wes
Ball dans la trilogie. Il déclare : « À l’inverse des autres
personnages, Thomas n’a pas peur de l’inconnu. Il est le seul à vouloir aller
de l’avant quand tous les autres préfèrent reculer. »
Jorge est quant à lui partagé face au plan de Thomas. Giancarlo
Esposito explique : « LE LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL est
un film qui nous rappelle qu’on ne doit jamais laisser personne derrière.
Thomas est prêt à tout pour retrouver Minho, mais Jorge et certains autres Blocards
sont sceptiques. Ils s’interrogent sur le bien-fondé de cette mission de
sauvetage : doivent-ils tous mettre leur vie en danger pour une seule
personne ? Ça n’est pas une décision facile à prendre. Je pense
personnellement qu’on ne doit jamais abandonner personne, mais c’est une
question qui divise et donne à réfléchir. »
Rosa Salazar, dont le personnage, Brenda, a rejoint le groupe des
survivants avec Jorge, ajoute : « En tant que héros de l’histoire, Thomas
est à l’origine de nombreux retournements de situation et de nombreuses
aventures. »
La cible du jeune homme, le Dr Ava Paige, interprétée par Patricia
Clarkson, est elle aussi confrontée à un dilemme moral. Bien qu’elle ait de
l’affection pour les immunisés, sa soif de réussite l’emporte sur tout le
reste. L’actrice déclare : « Il y a quelque chose de déchirant dans
la relation entre le Dr Paige et Thomas, car s’il y a bien quelqu’un capable de
toucher Ava, c’est le jeune homme. Elle a beaucoup de mal à accepter
l’échec, ce n’est pas quelque chose qu’elle pensait connaître un jour. Dans le
film, elle dit à Janson : « Il n’est pas question d’abandonner mais
de savoir reconnaître lorsqu’on a perdu. ». »
Après être parvenus à maintenir des liens étroits tout au long des deux
premiers films, à l’aube de l’attaque de WICKED, le groupe opte pour la
stratégie qui consiste à se diviser : les personnages se répartissent
ainsi en plusieurs équipes pour multiplier leurs chances de réussite.
Dylan O’Brien commente : « Dans les deux premiers volets de
la trilogie, nous étions tout le temps ensemble, tant à l’écran qu’hors caméra.
C’est toujours le cas ici, mais nous menons tous un aspect différent de la
mission, si bien que je partage la plupart de mes scènes avec Will et Thomas.
La mission est le moteur du film et notre objectif à tous est de nous retrouver
une fois celle-ci achevée. »
« Ils ne peuvent pas se cacher éternellement. Un jour viendra où
WICKED paiera pour ses actes. » Gally
Dans le premier film, le principal objectif des Blocards était de s’échapper.
Dans LA TERRE BRÛLÉE, en fuite, ils tentaient péniblement de conserver une
longueur d’avance sur WICKED. Mais cette fois-ci les rôles sont inversés, les
survivants passent à l’offensive et peuvent compter sur le soutien inattendu de
Gally. Présumé mort après s’être retourné contre ses amis à la fin du premier
épisode, l’ancien camarade des Blocards et adversaire de Thomas est désormais
en première ligne dans la guerre contre WICKED.
Comme le savent les fans des romans, Gally fait son grand retour dans
le troisième tome de la série. James Dashner raconte : « Dans le
Labyrinthe, Gally cherchait surtout à ne pas faire de vagues, mais on le
retrouve ici à l’avant-garde du combat contre WICKED. Bien qu’il assure vouloir
vaincre l’organisation, ses anciens amis, en particulier Thomas, ne lui font
pas confiance. »
Will Poulter était très enthousiaste à l’idée de reprendre le rôle de
Gally. Il déclare : « Les autres l’ont laissé pour mort à la fin du
premier épisode après l’avoir vu tuer Chuck, ignorant qu’il était infecté.
Depuis, sa vie a complètement changé, il fait désormais partie du Bras Droit et
tente de réparer ses torts ; ça a donc été un plaisir de me glisser à
nouveau dans la peau de ce personnage. »
« Bienvenue au Refuge. » Vince
Au cours de leur mission pour sauver Minho, les Blocards ont l’occasion
de secourir d’autres enfants capturés et utilisés comme cobayes par WICKED. Les
tests réalisés par l’organisation ont pour objectif de déterminer s’ils
possèdent en eux les éléments nécessaires à la fabrication d’un vaccin contre
la Braise.
Patricia Clarkson, qui interprète la mystérieuse et autoritaire
directrice de WICKED, explique combien la mission du Dr Ava Paige est
importante à ses yeux. « Certains personnages du film pensent que nous
pourrions être responsables de l’éradication de l’humanité, mais Ava Paige ne
voit pas les choses de cette manière, elle s’imagine sauver le monde. »
L’actrice reconnaît que la méthode utilisée est dénuée de compassion
mais explique que c’est dans la nature de son personnage. « Elle a de
toute évidence de grandes ambitions et ne prête que peu d’attention aux
sentiments, aux opinions et aux émotions des autres, qui ne lui semblent pas
particulièrement importantes. Ce qui compte en revanche pour elle, c’est la
survie. Au fil des épisodes, et en particulier dans le troisième, on entre
davantage dans l’intimité d’Ava. On découvre sa manière de vivre et on la voit davantage
affectée par les contacts et les interactions humaines. On prend conscience
qu’elle est réellement convaincue d’agir dans l’intérêt général. »
Wes Ball, le réalisateur, confirme cette part d’humanité chez le
personnage en ajoutant : « J’ai toujours dit que Janson était le
véritable méchant de la saga ! »
Pour Aidan Gillen, le côté négatif de son personnage repose sur sa
sournoiserie et sa soif de pouvoir. Il déclare : « Janson est un
simple employé de WICKED, mais il est très ambitieux. Il ne se contente pas
d’être un employé modèle, c’est presque comme s’il faisait partie d’une police
secrète. Je n’ai pas pu dévoiler grand-chose lors du tournage du précédent film
car Janson était présenté aux spectateurs et aux personnages comme un allié des
survivants, quelqu’un de bien au sein de l’organisation. Mais ce n’était
évidemment pas le cas, comme on a pu s’en rendre compte au cours de l’histoire.
On le retrouve aujourd’hui encore plus motivé, impitoyable, dangereux et
ambitieux qu’auparavant, lorgnant plus que jamais sur le pouvoir. »
Bien qu’Ava Paige ne cesse de répéter que « WICKED est bon »,
cela ne parvient pas à convaincre Brenda. La jeune femme ne croit pas une
seconde en l’altruisme affiché par l’organisation. L’actrice Rosa Salazar, qui
l’incarne, déclare : « Ils amassent de l’argent aux dépens du
peuple tout en se faisant passer pour des bons samaritains. Ils torturent des
enfants innocents pour fabriquer un vaccin et tentent de tirer profit d’une
épidémie dévastatrice. Ils ne le font pas pour le bien commun, ni même pour
sauver des vies comme ils s’échinent à le faire croire, mais pour
l’argent : c’est leur seule motivation. »
Giancarlo Esposito attribue tout le mérite de la portée de cet ultime
volet de la trilogie aux cinéastes. Il déclare : « J’ai adoré tourner
ce film. Il s’agit d’un western dystopien moderne à la fois épique et intime
qui a été filmé dans le désert du Kalahari et à Saint Helena Bay au bord de
l’océan Atlantique. On est réellement transporté par les décors sud-africains
du film. L’équipe a également fait acheminer de vrais trains par camions afin
de les faire circuler sur les voies. L’envergure de ce film est tout bonnement
incroyable. C’est très agréable en tant qu’acteur de voir que la production
investit sur le plan créatif et financier pour permettre au réalisateur de
donner vie à sa vision et nous donner l’occasion de jouer dans des décors
grandioses. Pour moi, c’est ça le vrai cinéma : lorsqu’on va voir un film, on
veut être transporté sur tous les plans. Je suis impatient de voir ce que cela
donnera sur grand écran ! »
L’ultime épisode de la trilogie est réalisé par celui qui lui a donné
vie il y a de cela cinq ans : le réalisateur Wes Ball. Le fait que la
franchise ait été mise en scène par un seul et même cinéaste a été très
apprécié par tous les acteurs.
Thomas Brodie-Sangster raconte : « L’enthousiasme de Wes Ball
n’a jamais faibli. Il lui arrivait souvent de décrire la manière dont il
envisageait une scène de manière très vivante, en y mettant plein d’effets
sonores et en incarnant tous les personnages à lui tout seul. C’est un
formidable moyen d’entrer dans l’histoire. »
Patricia Clarkson, dont le rôle s’est développé de manière
significative au fil de la série, déclare : « Ces films doivent énormément
à Wes et à sa vision singulière. Je ne considère pas LE LABYRINTHE comme une
franchise, mais comme un seul et même long film. Wes possède un style et une
imagination uniques. Ses films portent son empreinte et sont reconnaissables
entre tous, c’est un brillant artiste. C’était un plaisir de travailler sous sa
direction parce qu’il a su conserver l’enthousiasme de l’enfance, avec les
moyens d’agir d’un adulte qui maîtrise parfaitement son art. Je pense
d’ailleurs que c’est parce qu’il met une part de lui-même dans ces films qu’ils
rencontrent un tel succès. »
Giancarlo Esposito admire la relation que le réalisateur a instaurée avec
les acteurs au fil du temps. « On se sent dans un espace propice à la
créativité. Certains acteurs n’aiment pas trop avoir à improviser, mais ils le
font pour Wes, parce qu’ils savent qu’il s’agit de son troisième film dans la
série alors qu’il aurait pu accepter des projets de plus grande envergure. Je
suis d’ailleurs certain qu’il a reçu de nombreuses propositions et qu’il aurait
pu se retirer de ce projet, mais il a fait le choix de le mener à bien jusqu’au
bout. Chaque facette de cette trilogie est le fruit de sa vision. De nombreuses
séquences sont tournées sur fond vert à grand renfort d’effets visuels rajoutés
en postproduction ; il en est conscient et le prend en compte dans sa mise
en scène, il sait exactement où vous devez regarder et quand vous ne devez pas
parler car il a une vision claire de ce qu’il veut obtenir. J’admire beaucoup
sa capacité à penser à tout. Il est toujours présent pour vous guider lors du
tournage des scènes charnières car il possède l’imagination nécessaire à la réalisation
de ce genre de films. C’est un réalisateur bienveillant, élégant, calme, à
l’écoute et enthousiaste. Que demander de plus ? »
L’acteur a également pris beaucoup de plaisir à donner la réplique à
Dylan O’Brien. Il explique : « J’aime énormément travailler avec
Dylan car lorsqu’on se retrouve dans une impasse, qu’on a besoin de faire une
pause et de reconsidérer les motivations des personnages, il a toujours plein
d’idées. S’il a l’impression de se répéter d’une scène à l’autre, il n’hésite
pas à essayer de trouver une autre manière de s’exprimer ou à adopter une
attitude différente ; il est très rigoureux dans son travail. C’est un
plaisir de lui donner la réplique parce qu’il n’a pas peur de sortir des
sentiers battus. Il y a une scène dans laquelle Dylan, Barry, Rosa, Dexter et
moi nous trouvons autour d’une table lorsque nous sommes interrompus par
l’arrivée des Bergs, les moyens de transport volants de WICKED qui survolent la
zone où nous nous trouvons. Nous devons alors éteindre toutes les lumières et
nous cacher. Dylan s’est beaucoup interrogé sur la manière dont il devait
interpréter cette scène et nous avons tous essayé de l’aider en lui faisant des
suggestions, mais c’est lui seul qui a trouvé la solution. Il nous était très
reconnaissant d’avoir voulu l’aider parce qu’il a pris conscience que nous
avions tous le même objectif : faire le meilleur film possible. Mais il a
également réalisé qu’il fallait qu’il trouve l’équilibre du personnage, avec
lequel il vivait depuis si longtemps, par lui-même, et je dois dire qu’il s’en
est brillamment sorti. Dylan est quelqu’un qui réfléchit beaucoup à ce qu’il
fait, tout comme Rosa Salazar qui est très consciencieuse. Les acteurs de ces
films prêtent beaucoup d’attention au script et à ce qu’ont dit leurs
personnages depuis le début de l’aventure, comme Dylan. J’ignore comment il
fait pour se souvenir de tout après trois films, mais il connaît la trajectoire
de son personnage et s’y tient. »
Dylan O’Brien n’a que des éloges pour Wes Ball, qu’il côtoie désormais
depuis cinq ans. Il raconte : « Il est toujours d’humeur égale et ne
s’emporte jamais. C’est quelqu’un de stoïque qui a confiance en lui et qui est
toujours très encourageant et positif. Il ne possède pas une once d’arrogance.
C’est le réalisateur le plus agréable et le plus enthousiaste avec lequel il
m’ait été donné de collaborer. Il est extraordinairement intelligent, c’est un
véritable génie des effets visuels, un merveilleux conteur et un brillant
réalisateur, mais il possède aussi une profonde humanité et un caractère
enfantin qui en font quelqu’un de tout à fait normal et de très humble. Il a en
outre le don de vous redonner le sourire quel que soit l’état d’esprit dans
lequel vous vous trouvez, ça fonctionne toujours sur moi ! »
Le réalisateur a pour sa part apprécié le dévouement dont les acteurs
ont fait preuve non seulement les uns envers les autres mais également envers
la franchise, ainsi que la camaraderie qui s’est développée entre eux. Il se
souvient : « Avant le tournage du premier film, je voulais qu’ils
forment un groupe soudé. Je désirais qu’ils soient capables de passer une
semaine seuls dans le Bloc et de survivre. Nous avons donc fait appel à
quelqu’un qui leur a appris les techniques de survie et à se salir les mains
pour leur donner le sentiment d’appartenir à cet univers. Cette expérience
a créé des liens très forts entre eux, ce qui leur a permis de faire front
lorsqu’ils étaient fatigués ou confrontés à des difficultés. Je pense qu’ils
resteront amis pour le restant de leurs jours. J’ai pris beaucoup de plaisir à
les diriger et à rendre le monde dans lequel évoluent leurs personnages
tangible pour eux. C’est quelque chose que je n’oublierai pas de
sitôt. »
Bien qu’il n’ait pas pris part au premier opus de la trilogie, Barry
Pepper fait désormais partie intégrante du groupe et assure que toute l’équipe
a le même objectif : être à la hauteur des attentes des fans. Il
déclare : « Nous avons les meilleurs fans qui soient et je suis
convaincu qu’ils vont adorer LE LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL. Le film,
dont les décors sont éblouissants et uniques, nous replonge dans le Labyrinthe,
il se pourrait même que les Griffeurs refassent leur apparition… La boucle sera
donc bouclée. La série s’achève en apothéose et je suis impatient de partager
cette incroyable aventure avec le public. »
Textes des notes de production : Coming Soon Communication
Copyright © 2018 Twentieth Century Fox Film Corporation
et TSG Entertainment Finance LLC
#LeLabyrinthe
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